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25 juillet 2025

DOSSIER GRANDE ÉOLIENNE DE PARIS

Projet et arguments

INTRODUCTION
« Chaque semaine, une personnalité, un scientifique, un expert vient nous alerter que la transition énergétique est inéluctable et même urgente. Et nous, nous semblons ne rien faire ; « nous regardons ailleurs. » On avance tous freins serrés
Difficile à comprendre.
Alors il faut aujourd’hui un signal ostensible, pour nous réveiller et lancer effectivement ce changement de paradigme énergétique. Pour un nouvel essor industriel. Il faut un symbole fort, un emblème, un spectacle impressionnant qui marque les esprits :
la Grande Éolienne de Paris. Contribution de la Capitale à cet essor ; et cela en son centre.

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« Ô, Grande Éolienne de Paris, donne-nous ton énergie »

LE PROJET MÊME

LA GRANDE ÉOLIENNE

Il s’agit d’ériger une éolienne géante au cœur de Paris : au Jardin des Tuileries.

Haute de 130 m, de 5 à 7 mW de puissance (alimentation de 5000 foyers environ), d’un coût de 5 à 7 millions d’euros ; une installation temporaire pour 5 ans.

La base de l’éolienne demande en surface, un carré de dix mètres par dix mètres.

PROPORTIONS

Une éolienne de 130 mètres, c’est 9 fois plus haut que l’Arc de Triomphe du Carrousel ; 5 fois plus haut que les immeubles de la rue de Rivoli ; 4 fois plus haut que l’Obélisque de la Concorde ; 2 fois plus haut que la Grande roue de la Concorde et égale à la Grande roue de Londres (London Eye). C’est impressionnant.

POURQUOI AUX TUILERIES ?

L’implantation. D’abord, parce que c’est possible physiquement. Côté Seine, il y a un emplacement libre. Ensuite, parce que c’est au centre de Paris ; au cœur de nos préoccupations. Parce que c’est un lieu historique ; parce que la transition énergétique, doit venir s’inscrire dans l’Histoire ; et non pas être relégué « à l’extérieur » pour montrer, au fond, qu’on en veut pas.

Ici, pour créer un choc positif.

Ce jardin a ses racines historiques ; celles des rois et des empereurs, puis celles du peuple. Leurs noblesses doit retomber sur la noblesse de cette éolienne. Comme la Tour Eiffel le vécut. Avec ses polémiques, ses batailles et ses engouements.

Ailleurs dans Paris, ce n’est pas la même chose. Pour des problèmes techniques, de foncier, de place, de perspective ou de symbole ; des endroits moins significatifs.

Le Jardin des Tuileries est connu de tout le monde en France, voire dans le monde. Ce parc a servi à des événements de célébration ; au bicentenaire de la Révolution. C’est un lieu préservé, mais qui évolue en permanence.

Tout lieu d’implantation est une question. C’est pour cela que cette éolienne est conçue comme temporaire, pour cinq ans. À la fois pour ménager les susceptibilités ; et parce qu’elle doit correspondre à un coup d’envoi, et non à une fin en soi.

LA PERSPECTIVE HISTORIQUE LOUVRE-DÉFENSE

Cet axe plein ouest, au fil des temps, est devenu une vitrine de la Capitale et de l’Histoire. Depuis le Château du Louvre, maintes fois remanié, à la place de Concorde (Place Louis XV) centrée de l’obélisque vieux de 4000 ans ; ensuite la plus belle avenue du monde ; les deux arcs de triomphe ; jusqu’à la pyramide moderne de verre au milieu du Louvre ; et jusqu’au prestigieux quartier de la défense avec sa Grande Arche.

Le jardin des Tuileries, dans cette perspective, est l’hôte des promeneurs, des touristes, de la fête foraine, des défilés de mode ; sans oublier nombre de statues contemporaines et de la Grande Roue. Ce n’est pas un lieu figé.

Ce mélange d’œuvres et monuments, et des époques, est une collection des emblèmes de notre histoire.

La Grande Éolienne de Paris, comme la Tour Eiffel est notre nouvel emblème. 

ALTITUDE ET MOULINS À VENTS.

L’installation de la Grande Éolienne rejoint de sa modernité, l’histoire des moulins à vent de Paris, dont on peut éprouver la pertinente nostalgie.

Cette éolienne géante en est à la hauteur : considérant l’altitude de Monmartre de130 m absolu ; celle de la Seine de 36 m, d’où un dénivelé de 94 m, La Grande Éolienne de 130 mètres place donc son rotor plus haut que ceux des moulins à vents de jadis.

« Avant, il y avait des moulins à vent. »

voir Moulin de la Galette / Wikipedia :

Extrait : « Le moulin de la galette est en réalité constitué de deux moulins : le « Blute-fin » et le « Radet ». Le nom de « moulin de la galette » est mentionné pour la première fois en 1622 sous le nom de « moulin du palais »1.La famille Debray acquiert les deux moulins en 1809 et y produit de la farine. Il ne servait pas uniquement à moudre le blé : il était utilisé pour presser les vendanges ou concasser les matériaux nécessaires aux manufactures.

 NOTRE NOUVELLE TOUR EIFFEL

Comme autrefois, la Tour Eiffel a été le symbole grandiose de l’industrie, soutenue par la nation et par la capitale ; que l’on vient visiter aujourd’hui du monde entier, et qui est devenu le symbole de Paris, notre nouvelle Tour Eiffel est la Grande Éolienne de Paris.

Un spectacle utile, une contribution de la capitale, montré à tous, aux Parisiens et à ceux qui viendront la visiter.

On peut imaginer monter jusqu’au rotor, comme l’on monte sur des clochers ou sur la grande roue pour voir de paysage de haut et le mécanisme de près. Par un ascenseur à l’extérieur du mat ou à l’intérieur. On peut « designer » un piètement particulier, abritant locaux et structures…

MÉCANIQUE DE LA GRANDE ÉOLIENNE

Une éolienne géante est simple, à comparer à d’autres sources d’énergie. Une hélice, montée sur un rotor, multipliée par une boîte de vitesse, entraînant une génératrice (un moteur à l’envers), qui produit donc un courant, transformé en courant alternatif et connecté au réseau électrique. Cette éolienne s’oriente pour se mettre face au vent. Ses pales pivotent en fonction de la force du vent, jusqu’à se mettre en drapeau par vent trop fort.

C’est une source d’alimentation simple

Comment fonctionne une éolienne

http://fee.asso.fr/tout_savoir_sur_l_energie_eolienne/aspects_techniques/comment_fonctionne_une_eolienne

C’est une technologie au début de son histoire. La recherche et développement de ce secteur doit affiner cette technique pour améliorer les rendements, diminuer les pollutions induites, améliorer les sécurités, la mécanique et l’esthétique des installations ; et bénéficier des expériences diverses et durables dans le temps. 

 L’ART INDUSTRIEL

Ce projet est celui de l’art industriel. Comme il y a des arts et métiers. Des ouvrages d’art de cette taille. Le travail du dessin, du design ; l’aspect doit être travaillé comme l’a été celui de la Tour Eiffel. Pour que son prestige rejaillissent sur d’autres installations. 

 LA GRANDE ÉOLIENNE INDUSTRIELLE.

Créer du travail, des emplois. Le redressement industriel a ici une application commençant naturellement dans la transition énergétique ; avec les énergies propres et renouvelables. Cette transition doit être diversifiée ; concerne des emplois de toutes sortes ; des entreprises de toute tailles, car le grand éolien bénéficiera par cascade aussi au petit éolien ; et concerne tous les territoires.

Le redressement industriel énergétique, c’est investir, inventer et créer de nouvelles industries ; qui construisent entre autres, cette transition énergétique. C’est dépenser de l’énergie pour, à la fin, dépenser moins d’énergie globalement.

Créer de l’industrie, c’est ne pas laisser, bien entendu, l’exclusivité de ces installations à l’industrie allemande ou à un ou deux groupes nationaux, seulement.

Bien que les kilowatts les moins chers soient ceux que l’on ne consomme pas, il faudra encore longtemps beaucoup d’énergie. Avec sa part d’énergie éolienne, diversité oblige. Imagine-t-on alors le travail à accomplir en France, et que nous pourrions faire dans d’autres pays ? Avec les investissements que cela représente, c’est un défit industriel considérable.

Nous avons pris du retard. Mais il n’est pas trop tard pour le rattraper ; et être compétitif. Comme il y a 15 ans, nous avons tardé, par exemple, à nous mettre à l’internet ; ce que nous avons rattrapé ensuite. Faisons de même pour l’éolien et pour l’énergie.

 COÛT

Le coût de la Grande Éolienne est estimé à 5 à 7 millions d’euros. (1 million par mégawatt environ) Moins que la construction d’un bâtiment conséquent par la ville. C’est un pour mille du budget de la ville de Paris (8 milliards d’€ en 2013). Mais ce coût est amorti en cinq ans, par la fourniture de l’électricité produite.

D’autre part, sa construction, son étude,… bénéficieront à diminuer les coûts d’autres éoliennes.

« Attendons-nous que d’autres pays le fasse à notre place ? »

 

 

***

Pour qu’on puisse voir ce que ça donne

Pour que tout le monde vienne la voir, comme la Tour Eiffel.

Pour voir comme elle est grande.

Parce que nous devons en fabriquer

Parce que c’est un projet d’avenir

 

DISCUSSIONS ET DÉBATS

Y AURA-T-IL DU VENT ?

On n’attend pas des éoliennes qu’elles tournent à plein rendement tout le temps. Il y a souvent du vent à Paris ; en plus au bord de la Seine ; et à 130 mètres de haut, plus haut que les moulins à vent de Montmartre.

Toute source d’énergie est variable. Les hauteurs des retenus d’eau sont variables. Les générateurs ont besoin de s’arrêter. Les centrales nucléaires sont souvent à l’arrêt pour entretien, à cause de leur complexité. Le vent varie, mais en moyenne, il souffle ; et fait tourner l’éolienne gratuitement.

Au bord d’un fleuve, le vent rencontre moins d’obstacles ; bénéficie des différences thermiques entre sol et surface d’eau. La Seine, au centre de Paris est orientée est-ouest, selon les vents dominants. Jadis la navigation à voile y était pratiquée. 

Tableau : Louis Anquetin(1861-1932) « Bourrasque de vent sur un pont de la Seine » (1889)


L’INTERDICTION

L’une des premières oppositions à l’établissement d’une Grande Éolienne à Paris est que, « d’abord, c’est interdit ».

Interdit d’ériger une éolienne en plein Paris ; ni à 500 mètres d’habitations ; ni, a forciori, en plein milieu du Jardin des Tuileries ; ni ailleurs à Paris…

Cette interdiction doit être levée par une autorisation, un arrêté municipal et préfectoral, qui crée une structure juridique et maître d’œuvre, capable de recueillir l’autorisation.

La Tour Eiffel, le Forum des Halles, la Tour Jussieu, la Tour Montparnasse n’ont pas été interdit… Sinon Paris même pourrait-il être interdit ?

S’il n’est pas interdit d’interdire, il est parfois permis de permettre ?

Il est normal que des autorisations et interdictions régissent les paysages et les constructions. Mais l’esprit collectif, public permettent de résoudre cela. Et sont différentes des initiatives personnelles et privées.

« LES ÉOLIENNES ? LES FRANÇAIS N’EN VEULENT PAS… CHEZ EUX ! »

Avant d’être une idée reçue, cette assertion a une réalité. Personne ne veut d’une éolienne géante… chez lui. Dans son jardin, devant son immeuble au coin de sa petite rue. Pas plus qu’un château d’eau, une nouvelle route, un pont ou un ouvrage quelconque.

 Mais le jardin des Tuileries, justement, n’est chez personne ; il est chez tous.

Les gens veulent aussi, chez eux, collectivement, dans leur société, de l’avenir, des perspectives, des caps à suivre. Ils veulent se projeter aussi par le collectif ; pour cela, ils veulent que la société les y conduise.

Parce que tout le monde veut que ses enfants soient plus heureux que soi. Dans une société douée de raison et qui restera après nous. Avec de belles réalisations.

À Paris, le front de Seine est préservé, comme patrimoine de l’Humanité ; mais il se modifie en permanence, comme une vitrine de la ville de Paris ; et de la France. Cette vitrine doit être préservée, mais ne peut être figée ?

Ainsi, pour ménager les susceptibilités, la Grande Éolienne est temporaire, pour 5 ans. Comme il y eut bien des installations en Front de seine, provisoires ; comme les palais des expositions universelles. Ou diverses attractions et jeux. Ou comme la grande roue de la Concorde qui n’est pas permanente.

Tous les riverains de la Tour Eiffel en projet et en construction furent sans doute hostiles, voire affolés, par ce projet démesuré. Trop grand ; qui fait de l’ombre ; dangereux ; mauvais pour la santé ; magnétique ; qui ne sert à rien. Très laid pour beaucoup…

Mais l’opinion que « les français n’en veulent pas chez eux » peut changer.

Pensons aussi aux nécessités : s’il arrive un accident nucléaire à la centrale de Nogent-sur-Seine, à 70 kilomètres de Paris, est-ce que gens en voudront chez eux ?

Beaucoup de personne pensent aussi que l’énergie éolienne est utile et propre ; qu’elle est belle aussi ; ils en veulent dans les paysages, comme autrefois les moulins à vent.

 PERTINENCE DE L’ÉNERGIE ÉOLIENNE TERRESTRE.

L’énergie éolienne (terrestre) est une des énergies renouvelables décriée.

« cela ne fournit pas assez d’électricité » faute de vent, faute de puissance.

Les éoliennes n’ont pas de prétention de puissance ni de rendement extraordinaire. Mais elles sont faciles à installer, elle sont simples, peu chères, faciles d’entretien. Ont une durée de vie longues. On peut en installer dans tous les territoires ; il y a du vent partout. Elles sont démontables et ré-implantables ailleurs.

Il s’agit donc par le nombre, d’apporter d’une contribution non négligeable en énergie. Vers les 10% de notre électricité, ce qui n’est pas négligeable. Car nous sommes repartis dans un long cycle de diversité énergétique.

 

L’éolien maritime a plus de rendement, le vent étant plus fort. Mais il faut une part d’éolien terrestre pour mailler le territoire et répartir ces sources faibles mais utiles. L’installation est plus facile à terre. On comprend bien que l’on ne peut pas alimenter l’Alsace de sa part d’éolien, avec des installations maritimes. Et l’on comprend aussi que l’on ne peut garder l’éolien maritime pour les régions littorales, et une autre énergie pour les régions très continentales, comme l’hydroélectrique pour n’alimenter que les Alpes. Non, c’est un maillage global électrique du territoire sur le réseau qui existe et sur lequel se branche les sources diverses et réparties.

C’est aussi plus de décentralisation énergétique.  

ÉGALITÉ DES TERRITOIRES

Chaque territoire doit sa contribution à la transition énergétique. En dépensant moins, en fournissant sa part. En apportant son écot. L’énergie étant le point de départ de toute activité humaine (et du PIB).

Il est souvent impossible d’établir des sources d’énergie en ville, étant donné le foncier et les contraintes d’environnement. Mais la ville, a forciori la grande ville dévoreuse d’énergie, doit y contribuer.

À Paris, par le symbole, la représentation, la promotion ; par la pédagogie : que l’on sache comment dépenser moins d’énergie ; ou une énergie moins polluante ; et surtout montrer ce que c’est qu’une grande éolienne.

Il n’y a pas de raison que Paris, grande dévoreuse d’énergie, relègue les éoliennes sur d’autres territoires. Seraient-ils considérés comme secondaires ?

 PRIORITÉS PRORITAIRES

« Il y a mieux à faire avant » « Il n’y a plus urgent »

Certes à l’analyse des priorités, il y a toujours mieux à faire avant. Mais, comme « l’Ane de Buridan » nous risquons de mourir de savoir ou de lutter pour quelle priorité. À l’échelle d’un pays ou d’une ville comme Paris, la « priorité » est de mener de front beaucoup de projets. Bien sûr ceux du chômage, du logement, de l’écoles, de bâtiments… Bien d’autres. Mais ces priorités ne veulent pas dire exclusion des autres projets. Une ville n’est pas une personne qui ne peut faire qu’une seule chose à la fois.

L’on sait que tout les projets inter-réagissent ; la mutation énergétique donne du travail, des emplois ; ce qui donne des logements, des services, des équipements, etc…

Il y a donc beaucoup de priorités à l’échelle d’une grande ville ; à une échelle de temps de plusieurs années.

Dont fait partie la Grande Éolienne de Paris. 

RUMEURS, FAUSSES IDÉES ET CROYANCES

Le bruit, les infrasons, les champ magnétiques créés, les chutes de pales, les hachoirs à oiseaux,… puis, les éoliennes qui rendent fou et font vêler les vaches, ou attirent les requins, attirent la foudre, sont autant de faux bruits ou de déformations qui se propage malheureusement. D’un incident, le bouche à oreille le transforme en une catastrophe permanente…

Sources : « Les Bruits de l‘Éolien » rumeurs, cancans, mensonges et petites histoires, édité par l’observatoir des énergies renouvelables, avec le concours de l’ADEME, agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie.

DANGEROSITÉ DES ÉOLIENNES POUR LES OISEAUX ?

Les grandes pales tournent assez lentement pour que les oiseaux (moineaux et pigeons des villes), assez vifs par nature, évitent les pales très hautes, comme ils évitent les automobiles.

Un danger subsiste, semble-t-il, pour les grands oiseaux migrateurs qui voleraient en formation. Ils sont rares à Paris ; volent à des altitudes plus grandes que les éoliennes ; surtout se tiennent éloignés d’une ville où le trafic automobile est intense.

­Des accidents sont peut-être possibles, mais peu probables ; à comparer avec les accidents d’animaux avec les véhicules terrestres ; et avec la mortalité due à la pollution des autres sources d’énergie…

LES ACCIDENTS D’ÉOLIENNES ?

On voit des accidents d’éoliennes dans le monde, relatés sur internet. Feu dans le rotor, des bris de pales par grands vents, emballements…

Ce que s’empresse de reprendre tout opposant, comme d’une catastrophe totale.

Pas de panique : sur le nombre d’éoliennes installées, le nombre d’accidents est infime. Il faut aussi compter sur la jeunesse de cette technologie ; l’expérience des défaillances possibles les rendra plus sûres. Même en cas de forte météo.

Notons que les accidents d’avion ne remettent pas en cause l’avion. Il y a des accidents de téléphérique ou de constructions de bâtiment, ou de barrages hydrauliques.

Il y a des système de sécurité : frein, des mise en drapeau : par tempête, l’éolienne tourne ses pales pour annuler la prise au vent, et est construite assez solide pour tenir à des vents au-delà des plus forts rencontrés.

Y a-t-il eu déjà des crashs d’avion sur Paris ?

LES PROBLÈMES DES RIVERAINS ?

Aux Tuileries, du côté Seine, il n’y a pas de riverains à moins de 300 m. De l’autre côté, le plus proche est l’Hôtel Intercontinental. Qui peut être plus indisposé par le bruit de la forte circulation de la rue de Rivoli, au-dessous de ses fenêtres.

Les « riverains » plus lointains, auront dans leur paysage, la grande éolienne (temporairement). Comme ils ont la Tour Montparnasse, la Tour Jussieu, le centre Beaubourg, La grande roue de la Concorde, la tour de l’Hôtel Nikko, la tour du Palais des Congrès,…

PARIS ET BIEN D’AUTRES VILLES

Si Paris doit être à la pointe en tant que Capitale, on peut souhaiter par ailleurs, que bientôt d’autres grandes villes de France en soient preneuses. Toulouse, Marseille, Lille, Lyon, Bordeaux, Nantes, Rennes… Pour les mêmes raisons. Et d’autres à l’étranger : Chicago, la ville du vent, Londres, en Allemagne, etc…

Paris attendra-t-elle que d’autres villes le fassent à sa place ?

SOUTIENS

Ce projet demande le rassemblement de tous ceux qui veulent que cela bouge. Appel est lancé à participation, contribution, soutien, discussion, échanges, contact.

Citoyens, personnalités, média, parrains et marraine.

Ècologistes, artistes, citoyens, créateurs d’entreprise, industriels, amoureux des techniques, poètes… Qui pensent à leurs enfants, après eux… Ceux qui veulent de l’avenir.

Sources et références

 

Observatoire des Énergies Renouvelables

http://www.energies-renouvelables.org/energie_eolienne.asp

 Constructeurs français :

http://www.vergnet.com/

http://www.vergnet.com/investors.php

 

L’Alliance des vents / Le Havre

http://www.alliance-des-vents.com/Presentation-Alliance-des-Vents.html

 

Éolienne Haliade 150 Alstom

http://www.alstom.com/press-centre/fr/2012/3/alstom-inaugure-la-plus-grande-eolienne-offshore-au-monde-pres-de-saint-nazaire-/

 

Audition sur le changement climatique de Jean Marc Jancovici, à l’Assemblée Nationale

http://www.youtube.com/watch?v=xxbjx6K4xNw

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