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08 août 2009

DE LA DISCRÉTION JUSTEMENT.

Lettre ouverte à Paulo, gérant de l’Épicerie Bleu Cerise (et à ses confrères).
Mon cher Paulo,
Tu t’installes depuis un an et demi avec plein de projets pour la cour des Petites-Écuries. C’est habituel lorsqu’on découvre un lieu pareil. Mais tu risques d’être déçu comme tes  6 ou 7 prédécesseurs au Bleu Cerise depuis 10 ans, car la cour n’est peut-être pas le terrain de jeu que tu cherches. C’est un espace public qui n’appartient à personne, sur lequel les avis divergent, avec des conflits d’usage.
Les bars ne sont malheureusement pas chargés de son animation (comme personne d’autre non plus).
Et ça il faut bien le comprendre.

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03 juillet 2009

"OUI", une motion pour la cour

Voici la motion que j'ai lu à l'AGO de lundi 29 juin :

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05 septembre 2008

ON NE NOUS CROIT PAS

Parmi les réactions à notre blog et à notre problème de nuisances sonores, plusieurs ne nous croient pas.(Voir aussi le commentaire de Mathieu, ci-avant) À voir la cour à certains moments calmes, comment imaginer que ce soit infernal certains soir? Eh bien jugez par vous même avec cet extrait vidéo brut.


Comparez les niveaux sonores avec la voix, et par rapport au taxi qui passe. (extrait tourné au printemps 2007, à 23h00)
Imaginez en plus : des acclamations de foot, un mois durant, et puis les joyeux anniversaires, les fêtes privées…et avant les concerts.

15 août 2008

LE BRUIT, POUR LE MEILLEUR CETTE FOIS.

Les dimanche et lundi 3 et 4 aout, les trois bars et l’ Épicerie était fermés. C’était royal. On pouvait se balader et goûter le plaisir du calme de la cour, un peu comme dans un jardin, avec des arbres. Au loin, un faubourg un peu animé seulement en ces temps de vacances. On pouvait ouvrir nos fenêtres en toute tranquillité, prendre du plaisir à être sur cette petite rue. Une qualité de vie certaine. Ce fut un luxe tangible d’habiter ici, dans ce cas.
Le thermomètre montant parfois au-delà de trente degrés, les maisons étant chaudes, il était quasiment obligatoire, durant les nuits correspondantes, de laisser ses fenêtres grandes ouvertes la nuit, après 2 heures. Par ces chaleurs, tant pis, si une voiture passe et nous réveille… Surprise ! : ceux qui ont le sommeil léger ou alors sont restés éveillés la nuit, toujours fenêtres ouvertes, ont pu constater que la cour peut rester longtemps silencieuse… 2h durant, et même, témoignage à l’appui, jusqu’à 4h, entre 3h et 7h30, sans qu’un seul véhicule n’y passe. C’est extraordinaire. La circulation du faubourg en ces temps de vacances est aussi très diminuée. Il y a de longs moments sans aucun bruit de moteur nulle part. C’est formidable.
Ce n’est pas le silence complet, il y a plein d’autres (petits) bruits : des personnes qui passent à pied, des conversations et bruits de pas, les oiseaux… Mais c’est d’un calme… Extraordinaire ! C’est un véritable luxe.

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13 août 2008

LES VERTS EN PORTE À FAUX COUR DES PETITES-ÉCURIES

508cfb6c69e10d847d3d2a4e855e1ce9.jpgL’IRRESPONSABILITÉ DES VERTS FACE AU BARS À DÉCIBELS COUR DES PETITES-ÉCURES.
Il y a quelques semaines, nous avons demandé aux Verts de s’exprimer sur les nuisances sonores des bars de la cour. Quelle est leur opinion ou politique en la matière, aujourd’hui ? Localement.
Car des questions se posent : ont-ils voulu, ici, un lieu festif et convivial… pour les cafés ? Au détriment des riverains ?
Cette question fut et reste sans réponse.
Il faut savoir que les Verts, chargés de la voirie dans le précédent mandat Delanoë, ont conduit le projet de réhabilitation de la cour de 2003. Une concertation eut lieu entre 2001 et 2003 ? À cette occasion les riverains s’élevèrent déjà (dès 2002) contre l’extension possible des bars-café-restaurants, craignant les nuisances sonores futures sur la voie publique.
Seule Charlotte Nenner, qui n’est plus élue et n’a plus de responsabilités chez les Verts, s’est exprimée. En disant, entre autres, qu’elle nous plaint, qu’elle espère que ça s’arrangera, mais qu’elle ne renie pas ce projet. Elle avoue enfin que oui, elle préfère la cour en « place du village » arborée.
Mais les Verts ne vont pas plus loin. Jamais ils n’ont dit et ne disent, leur réprobation de l’accaparement de l’espace public par les bars à décibels. Et disent des solutions possibles à ce conflit.
Soit il s’agit d’une hypocrisie de leur part: d’un côté, ils nous plaignent, de l’autre ils approuvent la situation actuelle. (Et l’on s’est donc fait roulé).
Soit il s’agit d’une inconscience, ils ne se rendent pas compte… Ils ignorent.
Dans les deux cas, il s’agit d’irresponsabilité politique.
Parce que lorsque l’on change un paysage, on en assume le projet jusqu’au bout. Il y a un minimum de « service après vente » lorsqu’il y a un disfonctionnement. Et ici en plus, c’est une question d’environnement. (Ont-il des préoccupations d’environnement ?) Ou alors, n’étant plus « aux affaires », on dit, on écrit, on prend la parole pour dire en public ce que l’on préconise. C‘est ça la politique. JMC/ACPE
****
P.S. : Personnellement, ça m’est d’autant plus pénible de constater cela, que je les ai soutenus. On ne m’y reprendra plus.
Les Verts approuvent-ils les bars nouvellement installés ? Sans doute, car ils fréquentent eux-mêmes ostensiblement et régulièrement ces terrasses : Anne Souyris, porte-parole nationale des Verts, Sébastien Leplaideur, élu régional, Charlotte Nenner, ex-adjointe au maire de Xe, personnalités connues du quartier. Il ont choisi leur camp… ou alors il est cocasse de les voir ici, plutôt en porte à faux. JMC

08 août 2008

RÉUNION CONTRE LES NUISANCES SONORES DES BARS DE LA COUR, AVEC LE MAIRE DU Xe

369b8b84fb3043662dad04929c9d8288.jpgVoici le compte-rendu de la réunion du 30 juin 2008, entre des riverains et le maire du Xe, Rémi Féraud, à propos des nuisances sonores des bars le Tribal Café, la Chope et le Bleu Cerise.CRreunionmairiebars30_608.doc

12 janvier 2008

NE PAS FUMER, C’EST MIEUX.

e5c939bc3361a0e63b1c9e6987c95244.jpgMise en application de l’interdiction de fumer dans les bars.
Cette loi salutaire de santé publique change quand même la donne concernant l’espace public : son occupation le soir et la nuit, au voisinage des bars. Dans la Cour des Petites Écuries, c'est crucial. Il faut y remédier.
La journée, ce n’est pas gênant que les consommateurs fumeurs sortent et occupent le trottoir devant l’établissement. D’autant plus qu’ils ne sont que quelques-uns. Mais le soir et la nuit, ce n’est pas pareil. On a vu jeudi et vendredi soir passé, après minuit, des attroupements bruyants devant le Tribal et La Chope.
D’abord, la loi est celle de ne pas fumer à l’intérieur des bars. Elle n'oblige pas à fumer sur le trottoir avec son verre en main. Car là, il y a déjà une loi contre ça. La loi contre les terrasses non autorisées et contre leur extension. Et il y a aussi un arrêté pour leur limitation à 23h dans la Cour. Et puis il y a aussi une loi interdisant la consommation d’alcool sur la voix publique, en vigueur dans notre quartier et arrondissement. Quatre raisons.
Bien entendu ce n’est pas seulement une question d’infraction, c’est d’abord une question de nuisance. De bruit nocturne certain. Dû à l’occupation du trottoir par de nombreux consommateurs rendus bruyants par l’alcool. Ce qui est très dommageable pour les riverains.
Ni les autorités, la Préfecture, la Mairie de Paris, ni les tenanciers ne pourront dire qu’ils sont pris au dépourvu, nous avions prévenu du risque en amont. Maintenant le mal est là. C’est leur rôle, leur responsabilité de régler ce problème, qui se pose avec acuité pour une petite rue silencieuse, la nuit, comme la Cour.
Les établissements feraient bien de revoir leur politique fasse à l’espace publique. Lorsque nous réclamons leur isolation, ce n’est pas pour voir la moitié des clients sortir consommer sur le trottoir jusqu’à 2 h du matin.
Alors, faut-il imposer une heure de fermeture à 21h ou 22h ? Faut-il que les établissements changent de style ? Faut-il diminuer leur nombre par préemption des baux ? En tout cas, il faut faire quelque chose.
Et nous voyons venir les beaux jours avec appréhension.

30 décembre 2007

PRÉEMPTION DES BAUX COUR DES PETITES-ÉCURIES ?

Dans les prochains jours aura lieu la parution du décret au Journal Officiel qui permet aux mairies de préempter les baux commerciaux. Un très bon outil pour lutter contre la concentration des commerces. (lire l'article du Parisien dans les commentaires)
Pour la cour des Petites-Écuries, l'inquiétude, on le sait est la multiplication des bars. Voir la Cour se transformer en "rue de la soif", d'avoir des cafés-bars-restaurant à touche-touche, accaparant ainsi, de fait, l'espace public, surtout la nuit devient une nuisance. C'est déjà ce qui se passe avec l'enchaînement Tribal, La Chope (qui a été repris par le Tribal) et le Bleu-Cerise. Alors qu'il serait préférable d'avoir là, un seul café restautant, sympa avec le voisinage, dans cette petite rue tranquille et silencieuse. Certes, on ne peut pas encore parler de mono activité dans la cour, mais bon, petit à petit… Mieux vaut donc prévenir que guérir.
À la place de la Chope, par exemple, un fleuriste, un réparateur de vélo, un commerce de bouche ou associatif, une antenne de quartier, etc… L'un de ces nouveaux commerces de services, sans nuisances, dont nous avons besoin et qui font la qualité d'un quartier. Parlez-en aux candidats aux Municipales. C'est le moment.

26 novembre 2007

PROCHAINE INTERDICTION DE FUMER DANS LES BARS (1er janv 2008)

La reprise de la Chope par le Tribal Café depuis le 1er nov., est plutôt une bonne nouvelle. Tant la Chope était un enfer pour la cour et compte tenu que le Tribal est plus respectueux de son voisinage. À savoir maintenant ce qu’ils vont y faire et comment cela va tourner.
Surtout lors de la prochaine interdiction de fumer dans les bars ? Car ce qui est sûr, c’est que les nombreux client-fumeurs vont sortir fumer sur le trottoir. Pas de problèmes la journée, mais le soir, la nuit ? À minuit, on va avoir 10, 20, 50 fumeurs, probablement assez chauds, à discourir à l'extérieur, tout en fumant. Ce sera l’établissement de fait, d’une sorte de terrasse debout, sans table. (problème connu au Québec)
On entend aujourd'hui, que les cafés tabac pourraient continuer « à fumer » à condition que la terrasse soit totalement ouverte à l’air libre. Ce qui est le cas pour le Reilhac. Il faut voir ? Sauf que le Reilhac ferme à 21h. Voilà peut-être la solution : si l’on veut continuer comme ça, la fermeture des bars à alcool à 21h. Ça laisse le temps de travailler la journée et le soir, et ensuite le calme. Pourquoi-pas ?
En attendant des mesures, on demande aux bars de s’isoler de l’espace public : façade en dur isolante, doubles vitrages inamovible (+air conditionné si necessaire) et sas d’entrée. Et nouvelle étude d’impact sur le voisinage.
S’ils n’ont pas d’emprise l’espace public et sur leur voisinage, ils pourront faire ce qu’ils veulent chez eux, à l’intérieur de leurs commerces. Ce qui est naturel.

04 novembre 2007

LE TRIBAL AURAIT RACHETÉ LA CHOPE.

Dernière nouvelle, le Tribal Café aurait repris la Chope, bar à bière, en face au n°4. À suivre.

13 octobre 2007

JUSQU'À QUAND ALLEZ-VOUS TOLÉRER ÇA ?

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J'ai pris cette photo hier vendredi à MINUIT. Jusqu'à quand va-t-on tolérer ça ? Jean Michel.

10 septembre 2007

POURQUOI NOUS NE POUVONS TOLÉRER LA CHOPE

— Parce que l’activité des uns ne peut être au détriment des autres. Parce que la fête des uns, ne peut être le cauchemar des autres.
— Parce que cette fête de(s) la coupe(s) du monde n’est pas une fête. Ici, c’est une vaste entreprise (de marketing), dont nous sommes les pigeons, en somme. C’est une fête de dupe.
— Parce que c’est la vocation même de La Chope, d’accaparer le trottoir. Dans des proportions en dehors de toute mesure. (et en infraction)
En étant totalement ouvert, et en exploitant ainsi la fête, la teuf, la nouba, la bringue, la beuverie (comme on voudra)… en étant un bar à décibel, en vendant en sorte du tapage nocturne, mais cela sans isolation, La Chope génére un bruit infernal la nuit, une pollution sonore inouïe dans toute la rue, et des troubles du sommeil, une véritable souffrance. (Et est-ce que les enfants qui dorment tôt, doivent supporter cela aussi à ce point ?)
Cela fait un an que La Chope nous « pourrit » régulièrement la vie, la nuit. Les lettres, demandes, négociations, avertissements, n’ont rien donné. On a compris maintenant.
— Va-t-on se laisser faire ? Non. On est bien au delà de la tolérance.
Il faut donc lutter contre ces pratiques odieuses. Et contre ce genre d’établissement. Se regrouper, se fédérer, ouvertement. On est pas là pour souffrir en silence.
Ce que nous voulons, est un petit café sympa en bas de chez nous. Mais pour TOUS. Il n’y a aucunes raisons, pour nous habitants, riverains, voisins, et pas seulement soucieux que de notre intérêt, d’abandonner à ces "margoulins", disons-le, la rue, l’espace public et donc notre bien commun, notre qualité de vie et aussi notre sommeil…
Parce qu’il existe à Paris et dans la cour, plein de cafés sympas, sans problèmes. Parce que la démocratie, c’est le respect de l’autre par le respect des règles. JMC
Réagissez. (voir aussi LES SANCTIONS en commentaire)

08 septembre 2007

COMMENT PEUT-ON SUPPORTER UN TEL BORDEL À « LA CHOPE » ?

Ça y est ! Il ont remis ça. Hier soir, retransmission avinée de la coupe du Monde de Rugby.
Comment les gens, les voisins peuvent-ils supporter qu’un bar comme ça, s’installe dans une petite rue et ne mette un tel bordel, disons le. Acclamations, 3ème mi-temps jusqu’à 2h du matin, complètement ouvert sur la rue, sans avoir la moindre souci, respect, politesse, comme on voudra, sans s’isoler et fermer sa devanture amovible. C’est odieux. Cette fête se transforme en cauchemar pour les voisins.
Il ne faut plus avoir de complexe. Il faut tout faire, contre ces pratiques et contre ce bar sans vergogne. Il serait temps de se regrouper pour mener une lutte active et efficace. Et ne plus souffrir en silence. Avis à la population.

31 juillet 2007

RAPPEL DES RÈGLES AUX BARS

27/7/07 Les trois bars : la Chope, le Bleu Cerise et le Tribal-café, ont reçu cette semaine une lettre de la copropriété du 5, leur demandant le respect strict des règles d’occupation de l’espace public par leurs terrasses, pour la « tranquillité du voisinage » (c’est le terme légal).
C’est-à-dire : rangement des terrasses à 23h, sans laisser aucune table. Non-extension illégale des terrasses (la terrasse est non autorisée pour la Chope, pas de table supplémentaire pour le Bleu Cerise). Contrôle du tapage de la clientèle aux abords des établissements. Et isolation pour que leurs bruits (affluence, musique ou fête privée …) ne passe pas directement à l’extérieur.
Ce rappel correspond à une réelle et importante gêne pour les riverains la nuit. Qui dure depuis trop longtemps et notamment ces dernière semaines
***.
Lundi 31 juillet 2007 : Incroyable ! Les gens sont sans doute partis en vacances, il est 21h ou 22h, la terrasse du Bleu Cerise accueille 5 ou 6 personnes. La terrasse (illégale) de la Chope accueille une dizaine de personnes et celle du Tribal n’est pas pleine. Et nous de nos fenêtres, il n’y a pas de bruit. Ou plutôt pas trop de bruit. C’est-à-dire que l’on peut ouvrir nos fenêtres, et entendre bien sûr les voix des consommateurs, mais faiblement vu leur nombre, sans être gêné. C’est même agréable d’avoir cette rumeur, cette animation… Par rapport à la semaine dernière ou les terrasses étaient pleines et là c’était plus de cent personnes qui étaient à ces trois bars. Un bruit assourdissant.
Ceci est bien la preuve que c’est aussi le nombre des bars qui est un problème. Cela prouve qu’ici, la bonne jauge est d’avoir un seul bar (sympa avec les riverains si possible) pour que l’on soit en paix.
Un bar, ça va. Trois bars, bonjours les dégats !
***
P.S. Et Dimanche soir, le Bleu Cerise était fermé : moins de monde, pas de problèmes.

09 juillet 2007

D’UNE FÊTE DE LA MUSIQUE, L’AUTRE…

D’un côté, Chez Madame GEN, le café à l’angle des rues Martel et des Petites-Écuries, avait organisé ce 21 juin, une scène où se sont déroulés de 20h à 23h30, une succession de 4 ou 5 petits concerts. Bonne musique d’ailleurs et surtout bonne ambiance. Dans le public, entre cent et deux cents personnes, beaucoup d’habitants de la rue Martel, parents d’élèves de l’école Martel, habitants de la Cour, voisins, copains. Beaucoup d’enfants qui jouent bientôt dans la rue, cela ressemble à une petite fête du quartier. Surtout, le concert s’arrête vers 23h30, ce qui laisse le temps à la musique de s’exprimer, tout en mettant une limite au bruit pour les voisins cette nuit là. Bravo.
De l’autre, la Chope, cour des Petites-Écuries où un groupe se produit à partir de 22h, puis un DJ passe de la techno jusqu’à 2h30 du matin. Insupportable si tard. Ce lieu ne pense pas une seconde à fermer sa devanture, à s’isoler. Ici, pratiquement aucuns voisins. Les clients retrouvent une ambiance standard de grands boulevards. La fête de la musique, poussée si tard, avec cette ambiance, se transforme alors en pure nuisance, malvenue dans cet endroit particulièrement. Ce qui conduit à détester ce genre de manifestation et donc à ne plus la tolérer. Alors que c'est une fête. Et ce fut la même chose l’année dernière.
La Chope doit comprendre qu’elle n’a pas ainsi à accaparer l’espace public de la cour pour son seul business, et ruiner son ambiance naguère agréable.
Jean Michel

12 septembre 2006

UN NOUVEAU DÉCRET CONTRE LE BRUIT DE VOISINAGE

LE 31 AOÛT 2006 est paru un décret relatif à la lutte contre les bruits de voisinage.

Decret_bruit_sept_2006.doc