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05 avril 2009

COMMENT LES HABITANTS PEUVENT SUPPORTER ÇA ?

Depuis quelques années déjà, des groupes de buveurs s’installent au pied du n°1 et n°2 de la Cour, au parking deux-roues, souvent en fin d’après midi, pour se distraire et écluser force bières ou autres alcools. C’est là une calamité pour la cour, qui en a déjà d’autres.
Il ne s’agit pas de s’offusquer de la personne qui sirote une canette, …


…mais des groupes de 5, 10, 15, 20 personnes, chaque jour, stagnant 1h, 2h, 3 heures, parfois tard, buvant énormément et qui une fois chaud, deviennent énormément bruyant, et urinent par dizaines de litres dans le recoin de la jardinière, là, juste au dessous des fenêtres des habitants. Les odeurs d’urines en quantité, montent jusqu’au 3ème étage. On enjambe les flaques et ruisseaux pour passer et les gamins y font rouler leur ballon. On retrouve aussi les déchets et son deux roues esquinté parce qu’il a servi de repose pied ou de siège pour le bar.
Comment les gens qui habitent au-dessus peuvent supporter ça ? La cabinet médical qui est au premier étage ? Les locataires, les propriétaires,… Personne ne dit rien concrètement. C’est incroyable.
Maintenant l’habitude est prise, le rendez-vous est là. Ce n’est pas le seul recoin du quartier. Ce qui ne constitue pas la moindre excuse. Qu’on fait les habitant de la cour des Petites-Écuries pour mériter ça ? Car nous en subissons tous les nuisances et les miasmes.
C’est le rôle des pouvoirs publics d’apporter solutions à ce problème. Ils savent faire, c’est connu depuis des siècles. C’est le boulot, en premier lieu, de la police qui est en charge de régler les troubles sur la voie publique (c’est bien un trouble, non) Et c’est aussi la municipalité qui est responsable.
L’ACPE n’est à ce jour saisie d’aucune plainte, personne ne dit rien, aucune campagne, demande de réunion… Sans une action collective, concertée et avertie, rien ne se passe et ne se passera. On peut toujours attendre que le problème se résolve de lui-même.
Enfin, balayons tout de suite la moindre véléïté ou accusation de racisme là-dedans. Le problème n’est pas là. Partout dans le monde, en Afrique, en Asie, si des buveurs se comportent comme ça, ils se font sortir et prennent des seaux d'eau sur la tête, voilà tout.

10:44 Publié dans NUISANCES | Lien permanent | Commentaires (0)

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