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31 juillet 2007

ON REPARLE D’UN VIDE GRENIER DANS LA COUR ?

Beaucoup de demandes en ce sens. C’est vrai que ce serait bien agréable. Mais qui, que, quoi, dont, où ? Et quand, comment ? C'est un gros boulot. Qui s’y colle ?

RAPPEL DES RÈGLES AUX BARS

27/7/07 Les trois bars : la Chope, le Bleu Cerise et le Tribal-café, ont reçu cette semaine une lettre de la copropriété du 5, leur demandant le respect strict des règles d’occupation de l’espace public par leurs terrasses, pour la « tranquillité du voisinage » (c’est le terme légal).
C’est-à-dire : rangement des terrasses à 23h, sans laisser aucune table. Non-extension illégale des terrasses (la terrasse est non autorisée pour la Chope, pas de table supplémentaire pour le Bleu Cerise). Contrôle du tapage de la clientèle aux abords des établissements. Et isolation pour que leurs bruits (affluence, musique ou fête privée …) ne passe pas directement à l’extérieur.
Ce rappel correspond à une réelle et importante gêne pour les riverains la nuit. Qui dure depuis trop longtemps et notamment ces dernière semaines
***.
Lundi 31 juillet 2007 : Incroyable ! Les gens sont sans doute partis en vacances, il est 21h ou 22h, la terrasse du Bleu Cerise accueille 5 ou 6 personnes. La terrasse (illégale) de la Chope accueille une dizaine de personnes et celle du Tribal n’est pas pleine. Et nous de nos fenêtres, il n’y a pas de bruit. Ou plutôt pas trop de bruit. C’est-à-dire que l’on peut ouvrir nos fenêtres, et entendre bien sûr les voix des consommateurs, mais faiblement vu leur nombre, sans être gêné. C’est même agréable d’avoir cette rumeur, cette animation… Par rapport à la semaine dernière ou les terrasses étaient pleines et là c’était plus de cent personnes qui étaient à ces trois bars. Un bruit assourdissant.
Ceci est bien la preuve que c’est aussi le nombre des bars qui est un problème. Cela prouve qu’ici, la bonne jauge est d’avoir un seul bar (sympa avec les riverains si possible) pour que l’on soit en paix.
Un bar, ça va. Trois bars, bonjours les dégats !
***
P.S. Et Dimanche soir, le Bleu Cerise était fermé : moins de monde, pas de problèmes.

18 juillet 2007

GAZON EN PIED D'ARBRE

73236b27b88394e6ef1da9c9abb1b154.jpgFin juin, avec le patron du salon de thé Turc du n°8, nous avons gratté un peu la terre des 2 arbres; Zaza et Neness, devant le n°8. Et jeté une poignée de graines de gazon; aplati un peu, arrosé pas mal. (Les pigeons se sont rués dessus mais n'ont pas tout picoré).
Aujourd'hui, incroyable, l'herbe pousse. Ça verdit même. Pas plus compliqué que ça.
Espérons que l'inénarable Rocky du Tribal, ainsi que les chiens de passage, voudront bien aller faire leur crottes ailleurs (ramassées), tenus en laisse comme il se doit. Faut que ça pousse, mais pas dans ce sens là.
JMC
(P.S. : D'ailleurs fait pas pousser !)
(P.S. 2 : je signale que l'herbe, assez fournie de l'arbre devant le n°14, a été planté il y a 2 ou 3 ans. Un coup de tête et un miracle qu'il y en ait encore)
Photo-ci après : autre sorte de pied d'arbre

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17:00 Publié dans PLANTATIONS | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : ble

JARDIN DU n°14

Bonne nouvelle que la dératisation du jardin de la copropriété du n°10-14, à l'angle de la Cour et du Passage. Ce jardin, espace vert de la Cour, que tout le monde peut côtoyer, est, était infesté de rats depuis au moins 5 ans.
Les rats sont présents ici parce qu'ils y trouvent le gîte, des terriers tranquilles et aussi le couvert, non loin de là certainement et avec ce que les nourrisseurs leur jettent à manger par dessus les grilles. Ce qui est formellement interdit à Paris, comme le rappelle la pancarte affichée à la porte de ce jardin depuis peu.
Il ne manque maintenant qu'à détruire durablement les terriers et les possibilités de terriers… en cultivant ce jardin. Voilà tout. Et combattre les rats… et ceux qui les nourrissent (voir archives). Gageons que cela se fera.

HEUREUX RAVALEMENT DU N°4

Heureux ravalement du n°4, fraîchement terminé, pour cet immeuble très ancien semble-il (les étages n'étant pas réguliers). Merci à la copropriété de cette réhabilitation.
Curieux travaux en effet que ces ravalements qui ne sont pour la plus grande partie qu'esthétiques, à destination de l'embellissement de l'espace public (la rue), pour le plaisir des passants et des riverains et vu bien plus, par les voisins d'en face que par ceux qui les paient, contraints par la loi (et au besoin par les services municipaux du Bd Morland). C'est comme ça. La preuve que l'espace public n'est pas un vide, mais plutôt un bien commun tout à fait réel.
D'ailleurs, on aimerait que ce soit la même chose pour les porches d'accès qui appartiennent aux copropriétés les comprenant.b9d81fe0cbbbfbe7ea7529b2ab538134.jpg

09 juillet 2007

D’UNE FÊTE DE LA MUSIQUE, L’AUTRE…

D’un côté, Chez Madame GEN, le café à l’angle des rues Martel et des Petites-Écuries, avait organisé ce 21 juin, une scène où se sont déroulés de 20h à 23h30, une succession de 4 ou 5 petits concerts. Bonne musique d’ailleurs et surtout bonne ambiance. Dans le public, entre cent et deux cents personnes, beaucoup d’habitants de la rue Martel, parents d’élèves de l’école Martel, habitants de la Cour, voisins, copains. Beaucoup d’enfants qui jouent bientôt dans la rue, cela ressemble à une petite fête du quartier. Surtout, le concert s’arrête vers 23h30, ce qui laisse le temps à la musique de s’exprimer, tout en mettant une limite au bruit pour les voisins cette nuit là. Bravo.
De l’autre, la Chope, cour des Petites-Écuries où un groupe se produit à partir de 22h, puis un DJ passe de la techno jusqu’à 2h30 du matin. Insupportable si tard. Ce lieu ne pense pas une seconde à fermer sa devanture, à s’isoler. Ici, pratiquement aucuns voisins. Les clients retrouvent une ambiance standard de grands boulevards. La fête de la musique, poussée si tard, avec cette ambiance, se transforme alors en pure nuisance, malvenue dans cet endroit particulièrement. Ce qui conduit à détester ce genre de manifestation et donc à ne plus la tolérer. Alors que c'est une fête. Et ce fut la même chose l’année dernière.
La Chope doit comprendre qu’elle n’a pas ainsi à accaparer l’espace public de la cour pour son seul business, et ruiner son ambiance naguère agréable.
Jean Michel