20 juin 2008
VÉLOS CREVÉS
"Ce matin, mercredi 18/6, j’ai découvert mon vélo ainsi que ceux de mes filles, garés au parking 2 roues au n°1 de la cour, les 6 pneus crevés et entaillés volontairement (allez voir). Ce genre d’agression est odieux et tout à fait malfaisant. J’ai porté plainte contre X, ce méfait n’étant évidemment pas signé.
Curieusement, cette dégradation survient après un rappel à l’ordre sérieux, semble-t-il, des services de voirie à l’encontre des bars, pour extension illégale de leurs terrasses.
S’agit-il d’une vengeance ?
Quoi qu’il en soit, je dis publiquement que, concernant le conflit avec les trois bars :
— Je ne suis pas le seul riverain* luttant pour son droit à être respecté.
— Toute méthode d’intimidation renforcerait au contraire notre détermination à lutter contre les nuisances que nous subissions dans la cour, afin que les règles soient respectées.
— Pour nous, ce sera sans haine, ni violence. Il ne saurait y avoir des manières de voyou qui gouvernent la cour, ni la transforme en une zone de non droit. Qu'on se le dise."
Jean Michel Comte
15:10 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Je ne sais pas si il y a un lien entre les deux événements, mais hier soir, le trottoir de notre immeuble, le n°16, était jonché d'un énorme tas de détritus.
L'ensemble des habitants ont pu en profiter, (dont les enfants qui allaient à l'école), puisque les services de la ville sont passé ce matin vers 8H00 pour nettoyer.
Ce tas d'ordure à cet endroit avait, à mon sens, un petit goût de provocation. À suivre.
Christian
Écrit par : VANNIER | 24 juin 2008
Ma fille rentrant de l'école, m'a signalé aussi ça. Parce que c'était impressionnant.
Ça conjugue plusieurs choses, sans doute. Une source qui n'utilise pas l'enlèvement gratuit par la ville. Qui l'ignore ou bien qui s'en fout. Qui ne gère pas ses déchets. Ou qui les laisse gèrer par les autres. C'est un égoisme, une irresponsabiilité, une faute.
Sans doute le phénomène de dégradation est amplifié par la fouille des passants (?) L'image retenue est celle d'une décharge (ici d'un pillage). En effet une provocation.
Écrit par : Jean Michel Comte | 25 juin 2008
"En effet une provocation". Ce n'est évidemment pas une provocation. Le tas d'ordure était visiblement les restes d'une chambre de bonne ou d'un studio vidés à la hâte, probablement après le départ ou la mort d'un locataire. Ce genre de choses se rencontre couramment dans les quartiers populaires.
Écrit par : ML | 25 juin 2008
Oui mais non, ML. La provocation ne réside pas à avoir a débarrasser un lieu. Ça arrive. Mais réside dans la gestion de ses ou de ces déchets.
Écrit par : Jean Michel Comte | 25 juin 2008
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