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01 juillet 2009

L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE : L’ASSOCIATION AU MILIEU DU GUÉ…

souslespavés de la Cour.jpg(photo : la cour et ses pavés en vrac) L’Assemblée générale de l’ACPE du lundi 29 juin, la réunion, ne s’est pas déroulées dans la concorde avec congratulations (!). Polémiques, conflits, débats houleux… La question a même été posée de la dissoudre…
ET puis non, au contraire, à la fin de la réunion, les participants ont exprimé la volonté de la reconstituer.
— Elle a duré plus de trois heures et demi,…


…en comptant quelques prolongations. Le conflit des nuisances sonores et des bars a occupé la majorité du temps. Cela en présence des gérants du Tribal Café, du Bleu Cerise et de la Chope (en partie) qui étaient venus. Ce problème a partagé l’assemblée en deux camps. Mais deux camps qui dialoguent, malgré tout, si chaudement soit-il.
Étaient présentes 14 personnes. Des n°1, n°5, n°8, n°14, n°16, n°20, n°26, n°9 ter, dont 5 étaient présentes pour la première fois Et les trois gérants des bars.
— Au début, nous avons reparlé du porche de rue d’Enghien. Situation inchangée d’insalubrité (voir note précédente à ce propo sur ce blog).
Ensuite nous avons parlé de Laurent Godard et Flateurville (,)24), qui est un lieu apprécié pour sa création mais pas pour son bruit sans vergogne. (cf la pétition des riverains contre lui) De là, nous en sommes venu au bar le Passage et ses frasques nocturnes aussi bruyante dans la rue. Et delà nous en sommes venus au problème général des nuisances sonores des bars :

D’UN COTÉ… DE L’AUTRE
— Certains sont partisans des bars et de leurs animation… mais d’autres non car il en subissent le bruit nocturne. En cas de désaccord, on s’en réfère aux règles, à la loi, au décret) qui fut montré et rappelé en partie. Et qui est restrictif.
— On a contesté cette référence à la loi comme non adéquat, trop stricte pour un « vivre ensemble » sympa, ici… oui mais on a dit que lorsqu’on est en conflit ouvert ou pas d’accord, on en vient à la règle, à la loi qui régit les droits et devoirs.
— On a opposé que la cour était un endroit un peu à part, avec ses règles propres… Oui mais on a répondu que la cour est un lieu qui respecte les régles qui s’imposent et nous protègent comme partout en France. Et nous oblige, sans exception. Cela dit avec l’obstination du citoyen, militant démocrate et républicain.
— On a dit que l’ACPE avait un rôle néfaste avec ce conflit des bars… mais on a dit que c’était grâce à elle que les terrasses ont été contenu à 23 h et que c'est par son action que, paradoxalement, ceux qui trouvent qu’il n’y a pas de problème peuvent dire que tout va bien.
— On a dit que l’association devrait plutôt s’occuper de choses positives… oui, elle l’a fait en de nombreux événements jadis ou naguère qui  1) ne sont plus possibles avec un conflit ouvert de la sorte et 2) qui ont laissé penser que la cour était le lieu des réjouissance et de fêtes du quartier. Ce qui a servi de tremplin aux dérives et aux nuisances.
— On a dit qu’il y avait bien peu de monde à l’ACPE … oui mais assez de gens s’abritent derrière cette structure et la laisse lutter, en se plaignant des problèmes auprès d’elle. Aujourd’hui les associations sont toutes comme ça. Leur travail n’est pas une question de majorité, mais d’engagement.
— On a répété qu’il fallait être tolérant… oui mais on a dit que lorsque la tolérance est mise à l’épreuve plusieurs fois par semaine comme en ce moment, on ne peut plus être tolérant
Etc…


À chaque argument des uns, était chaque argument des autres. Nous ne fûmes unanimes sur rien…  L’association en fut réduite à la pire des choses mais lorsqu’il a été proposé de la dissoudre la réponse fut non.
Il a été rappelé les actions : les messages, l’information passée contre les rats, pour la cohésion, l’action "s’Épanouir", le vide grenier 2004, l'Opération Persil, les fêtes du quartier (pré-asso), le travail avec le groupe de jeunes, la politique des plantes, la jardinière, les gros pots.
Évidemment, chacun voit midi à sa porte et toujours le problème du voisin comme secondaire tandis que le sien est prioritaire.
Sur chaque point, lors de cette assemblée générale, nous fûmes donc confrontés à la fois à un échec… (je passe sur les attaques personnelles) et à des réussites.
Nous étions là principalement, pour organiser un vide grenier… mais devant une telle animosité, ce ne fut pas possible.
Que faire ?

( à suivre dans d'autres notes ces prochains jours)

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