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13 septembre 2008

POINT SUR LA JARDINIÈRE

22aed032a66f15003be667d4392ebe31.jpgSuite à la question de Mme Rouay : "Bonjour. J'ai constaté depuis un certain temps que le mur vert à l'entrée de la Cour a un aspect plus que pitoyable. Qui est supposé être responsable de son entretien? Est-il encore possible de le restaurer? Meilleures salutations de votre voisine."
Un point sur notre jardinière (voir) : c'est les services de la municipalité qui gèrent ça. Oui, avec la jardinière nous sommes plutôt dans l’expectative. La laisser comme ça, morte, non. La supprimer, non plus (Rémy Féraud nous a posé la question s’il ne le valait-il pas mieux l’enlever). Attention au retour du dépôt d’ordure. Ça nous inquiète.
Dommage, cet équipement si valable s’est trouvé bien mal élaboré.
Il n’a pas résolu le problème des urines sauvages.
Ce problème a plusieurs solutions : 1) l’installation d’urinoirs dans le quartier proche. 2) la « gestion » par les pouvoirs publics, des groupes de buveurs pour éviter les infractions. 3) L’aménagement physique des lieux 4) Des campagnes efficaces pour changer les comportements.
Rappelons aussi l’installations laborieuse de la jardinière. Travaux pénibles qui ont duré des mois. Non coordination entre la municipalité, les services, les habitants et l’ACPE. La persistance du recoin, légal, un échec programmé. Il eut été si simple de fabriquer une rallonge en tôle (ou en végétal) amovible pour bloquer le coin.
Alors, soit il est possible de la réparer et de la remettre en route, avec un arrosage manuel (un robinet qui est ouvert régulièrement) Car du temps où elle donnait, c’était assez beau (voir).
Soit la démonter et la remplacer par quelque chose de plus simple, comme il existe dans pas mal d’endroit à Paris. Ou comme ces nouvelles plantes grimpantes ( voir à l’angle de la rue des Vinaigriers et du Canal St Martin.)
Mais tout ceci à condition de s’en donner la peine sans mauvaise volonté, d’y mettre un peu de moyen et de garantir un tant soit peu le résultat.
Il est aussi surprenant, (l’association ne le redira jamais assez), de voir les habitants des immeubles riverains des n°1 et 2 se désintéresser de leur environnement, au bas de chez eux, qui devient de plus en plus un véritable cloaque. Comment font-ils ?